La Bavarde aime à dire à qui veut bien l'entendre que l'amour lui cause autant de mots que de maux !
Poisson(s) de son état, elle caresse l'ambition de rétablir la ligne entre thons et maquereaux.*
Accordéon main gauche** et coeur au bord des lèvres, elle chante, parle, rit, susurre, oublie, bégaye et désespère, inspire-expire-soupire, trompette à bouche et vocalise, pour nous plonger avec elle en apnée dans l'océan ô combien tumultueux autant que merveilleux de la communication amoureuse...
Avec la paresseuse complicité de son troisième poumon*** (le fameux Léon!), dans un one woman show musical, la Bavarde s'amuse à disséquer les multiples langages de l'amour, dont elle nous restitue l'essentiel dans un répertoire original de textes et chansons intimistes, où humour, tendresse, violence, érotisme, jalousie, Henri Gougaud, Guy Marchand et autres poissons rouges se côtoient et s'entremêlent.
* la Bavarde aime les métaphores douteuses
** la droite lui étant bien utile pour saluer la foule, boire un verre de Chinon ou encore se recoiffer...
*** à l'origine la Bavarde est violoniste et un rien asthmatique, alors naturellement Léon...il est son inspiration et ne lui colle pas au menton. Pour chanter c'est plus aisé, vous avouerez !